domingo, 19 de diciembre de 2010

MIGNONNE

Au-dessus des villages tropicaux
La nuit tombe, les cases luisent
Les ancêtres se réveillent
Et la jeunesse danse :
C’est l’harmonie des anges.

J’ignore le destin des soldats
Les coordonnées des voleurs
La surveillance des hôpitaux
Le sommeil du soleil :
C’est ton visage qui m’attire.

La moitié de ma vie
S’envole dans tes bras.
Nous dansons à pas répété :
Pas de hâte, l’océan
Du bonheur nous entoure.

Tiens, ma mignonne !
La brise nous caresse
Et tu murmures mon nom.
Dors, ma chérie,
Je veille pour toi,
Tu rêves pour moi.

1 comentario:

Anónimo dijo...

Aprendi mucho